Puce RFID : Propagande de France 2
Ce reportage de France 2 met en avant les avantages de la puce électronique RFID. Conçue par les USA et désormais implantée sur tous les passeports américains, la France semble suivre le même chemin en banalisant ce système à travers les médias. Cette technologie permet d'enregistrer sur une carte d'identité, notre photo, notre emprunte digitale, notre compte bancaire, notre dossier fiscal, notre numéro de permis de conduire. Mr De Villepin vante ses mérites en annonçant qu'elle permet d'éviter la fraude documentaire. En effet, il deviendra impossible de la falsifier. Ainsi, la puce prouvera notre identité grâce à une simple pression du doigt sur un lecteur électronique. Ensuite, le reportage expose l'exemple d'une boite de nuit qui réalise des greffes de la puce sous la peau de leurs clients pour 125 euros. Ainsi, ces derniers sont facilement identifiés à l'entrée de la boîte. Selon le présentateur Pujadas, cet exemple "ferait école". Les clients qui ont un porte monnaie sont qualifiés de vieux jeu, ce qui contribue à les marginaliser et donc inciter le plus de monde à se faire incruster la puce sous l'épiderme. D'ailleurs, une jeune fille interrogée, dit ne pas savoir pourquoi elle a décidé de se faire implanter la puce, sa seule explication résiderait dans le fait de faire comme tout le monde. Mettant en lumière les avantages de cette puce, le reportage n'évoque que brièvement l'aspect des libertés individuelles. En effet, si le système permet d'éviter les fraudes et présenter notre identité plus rapidement, il permet aussi de suivre chaque individu à la trace et de connaitre ses habitudes de consommations. Les gens ne semblent pas cerner les intérêts des mondialistes, dont le but est de contrôler de manière toujours plus drastique les êtres humains. Si l'homme parait de plus en plus libre, il est aussi de plus en plus asservi par le divertissement, les loisirs et un système de répression de plus en plus fort. Les films tels que Le Meilleur des mondes ou 1984 semblent de moins en moins être une fiction.
Durée : 4 min 05